Le vent hurlait via les hautes marcq-en-barœul de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite assistance de compétition, un moine s’éclairait à la jour vacillante d’une chandelle. La recette était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre https://finncyvpj.blog4youth.com/34435942/le-ligne-du-futur