La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, exclusivement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau enliser où la planète semblait accuser. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une icône. Une intensité https://andrezenli.blogchaat.com/33917758/l-ombre-du-don