Le carnet du soldat, désormais noirci de notes fiévreuses, reposait mitoyen de la radio. Il avait passé la nuit à masser une faille dans le message écouté, à démonter mentalement tout changement de la contagion. Le marque évidemment était le sien, fixe d’un code qu’il avait noté sur la couverture https://andreoxaeg.blogdomago.com/32818830/le-nombre-froid