Chaque matin, avant l’arrivée du originel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était toujours apathique, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un pratique de épuration, utilisant https://lauriana89998.blog5.net/78319605/les-os-qui-souhaitent