La billet semblait désormais inscrire seule. Le fin des murs, patiné par les époques, conservait une tiédeur étrange, à savoir s’il absorbait l’écho des présences léguées. Les tarots oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait décodifier. Chaque vie, elle observait de nouvelles compositions se former : un pendule s’arrêtait https://andresyfjln.blogofchange.com/34810377/la-cage-aux-tarots